dimanche 8 septembre 2013

Se déplacer sans polluer, une question d'avenir.



                   Le transport est devenu la première source de pollution dans le monde. En effet, les transports consomment 96% du pétrole. Aujourd'hui la majorité des gens sont contraints d'habiter loin des villes, donc loin de leur lieu de travail. On devient dépendant des transports polluants, qui sont devenus indispensables dans notre société. Mais ce mode de vie a une date limite. Puisque le pétrole se raréfie, il est important de penser à un avenir durable dans nos transports. Le désengorgement du trafic routier, les véhicules écolos, les centres villes sans voitures, l'omniprésence des transports en commun,... Un grand nombre d'idées et de concepts émergent de la population pour réduire ces consommations mais ne se concrétisent pas forcément.

            Des pays comme la Suisse par exemple, ont trouvé des moyens alternatifs afin de limiter la pollution dans les villes. Des solutions ont été proposées telles que le travail régulier à domicile. Des entretiens virtuels en vidéoconférences et des communications à distance permettent de réduire considérablement le trafic donc la pollution.

« En Suisse, si 450 000 employés pouvaient travailler un jour par semaine à la maison, cela permettrait d'économiser 67 000 tonnes de CO2 par an. » précise Norbert Egli, de la section de consommation et produits de l'OFEV (Office Fédéral de l'Environnement) de la confédération Suisse.

            Comme les célèbres Velib' de Paris, le marché des deux roues en libre service se développe de plus en plus dans les grandes villes. Et ca marche !
En Suisse de nouveau, cette idée se développe également avec des voitures depuis 2002  pour favoriser le covoiturage lors de petits trajets et réduit l'utilisation des véhicules individuels.

Le livre blanc sur l'avenir des transports.

Toutes les idées et propositions y sont rassemblées par la Commission Européenne. Espérance ou doute ? Certes bon nombre de propositions sont citées dans ce livre mais rien n'est ambitieux, clair et vérifiable. En effet beaucoup d'ajustements sont reportés à 2030, voire 2050, mais qu'en sera t- il de notre environnement d'ici là ?
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            La raréfaction des énergies fossiles engendrera des tensions, les prix vont augmenter considérablement. Il faut réagir et repenser à la mobilité de la population, optimiser les déplacements.
Une mobilisation générale s'impose en faveur des transports plus économes. Et que les politiques se bougent !!


Fourcaud Etienne
Daguerre Sébastien




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